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Cette série d’ateliers internationaux donnera aux participants l’occasion d’explorer des opportunités pour un engagement mondial concernant les questions d’orientation sexuelle et d’identité de genre. Grâce à la collaboration de ARC International, IGLHRC, ILGA-World, ILGA-Europe, HIVOS et de plusieurs autres organisations, ces ateliers examineront toute une gamme de priorités courantes, incluant les récents développements aux Nations Unies, les façons de répondre aux violations des droits humains, les demandes de statut de réfugié, la question de genre, la santé et l’économie, les collectes de fonds et les stratégies afin de mettre les questions LGBT au programme international. Joignez-vous aux participants de d’autres régions, alors que nous discuterons des questions Out dans le monde ! |

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HORAIRE DÉTAILLÉ – OUT DANS LE MONDE!
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Jeudi, 27 juillet |
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11:00 - 12:30 |
Session d’ateliers 1 |
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1. Situer les droits de reproduction et les droits LGBT dans un cadre plus étendu du droit à la sexualité
Les sujets de cet atelier
sont intimement liés à une vaste gamme de questions de justice sociale, incluant les problèmes de droits sexuels et reproductifs, de santé et de liberté.
Nos opposants voient également ces questions comme étant liées et s’opposent vigoureusement à l’avortement, aux programmes d’éducation au VIH/sida de non abstinence, aux droits des travailleurs du sexe, aux droits LGBT, etc. Ces opposants savent se faire entendre, sont bien organisés, très actifs dans la sphère internationale et jouissent d’un bon support étatique.
Notre soutien pour
ces questions ne peut être fragmenté ou isolé de son contexte plus large. Cet atelier étudiera les liens entre les questions LGBT, les droits reproductifs et la santé sexuelle, ainsi qu’il explorera les opportunités pour situer ces questions au sein d’un
programme plus extensif.
Paula Ettelbrick,
directrice général, IGLHRC (États-Unis)
Dorothy Aken’Ova,
INCRESE (Nigéria)
Pramada Menon, CREA (Inde)
Présidente
: Cynthia Rothschild, Center
for Women’s Global Leadership (États-Unis) |
Salle :
511-B
Langues :
anglais
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2. Quel est le rôle et l’espace alloué aux militants LGBT aux Nations Unies ?
La Résolution brésilienne et sa continuité : la première résolution onusienne à jamais bannir la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre a été présentée au Brésil en 2003. ILGA et d’autres ONG ont invité des militants aux Nations Unies afin de s’assurer que ces sujets demeurent à son agenda. Cet atelier sera une opportunité de parler aux militants de diverses régions du monde qui furent présents à la Commission des droits de l’homme et de partager leur compréhension des enjeux auxquels fait face la communauté LGBT à l’échelle de l’ONU.
Pedro Paradiso Sottile, juriste, CHA (Argentine)
Ghassan Makarem, fondateur, Helem (Liban)
Belissa Andia Perez, directrice, Runa (Pérou)
Howard Glenn, directeur
général, Rights Australia (Australie)
Rosanna Flamer-Caldera,
cosecrétaire générale,
ILGA (Sri Lanka)
Présidente : Gloria Careaga, El Closet de Sor Juana (Mexique) |
Salle :
516-D
Langues :
français
anglais
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3. Remettre en question les lois anti-sodomie : travailler pour un changement progressif légal dans les pays du Sud
La sexualité et la loi ont toujours entretenu une relation complexe. Peut-être encore davantage que toute autre lutte sociale, le mouvement « queer » a dû évaluer la loi simultanément d’abord en tant qu’instrument d’oppression (loi anti-sodomie), ensuite en tant que début potentiel de la libération (disposition des lois anti-discrimination). Les pays du Sud sont présentement dans le pénible processus de négociation. Les expériences dans chacune des anciennes colonies sont plutôt uniques, en passant par l’Afrique du Sud, dont figure dans la Constitution la non discrimination sur la base de l’orientation sexuelle et Hong-Kong qui a récemment décriminalisé la sodomie, l’Inde, le Zimbabwe et les Caraïbes anglophones qui possèdent toujours des lois anti-sodomie. Les mouvements de plusieurs de ces pays sont toujours très fragiles et dispersés, et ont tout juste commencé la difficile tâche de changer les statuts criminalisant les diverses formes de comportements sexuels déviants.
Joel Simpson, Society Against Sexual Orientation Discrimination (SASOD) (Guyane)
Derek Matyszak, Gays and Lesbians Zimbabwe (GALZ) (Zimbabwe)
Alok Gupta, Lesbian, Gay, Bisexual and Transgender (Inde)
Roddy Shaw, Civil Rights for Sexual Diversity (Hong-Kong)
Président
: Arvind Narrain, Alternative Law Forum (Inde) |
Salle :
516-E
Langues :
anglais
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4. Violence et violence verbale - Comment pouvons-nous documenter les incidents et soulever la question dans le travail de lobbyisme des institutions internationales ?
Cet atelier explorera
comment la documentation des incidents
de violence verbale et de violence peut être utilisée de façons positives dans le lobbyisme au sein d’organisations nationales, européennes
et internationales.
Patricia Prendiville,
directrice générale, ILGA-Europe
(Irlande)
Maxim Anmeghichean, directeur des programmes, ILGA-Europe (Moldova)
Nigel Warner, conseiller
spécial au Conseil de l’Europe
pour ILGA-Europe (Royaume-Uni)
Président
: Kurt Krickler,
Hosi Wien, membre du Conseil d’ILGA-Europe
(Autriche)
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Salle :
511-C
Langues :
anglais
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14:30 -
15:30 |
Séance
d'ateliers 2 |
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1.
Droits économiques, sociaux et culturels,
VIH/SIDA et besoins humains de base
Tout comme les personnes
LGBT à travers le monde font face aux violations des droits civils et politiques, plusieurs membres de nos communautés sont refusés leurs droits les plus primaires. Cet atelier explorera comment nous situons les questions LGBT à l’intérieur d’un plus vaste programme de santé, d’éducation, d’économie
et de culture.
L’atelier inclura un rapport de la Session spéciale de l’Assemblée générale des Nations Unies sur le VIH/SIDA, qui a eu lieu en mai dernier à New York, et la préparation pour la Conférence internationale sur le sida qui se tiendra à la mi-août à Toronto.
Djoni Agus Suparta, Gay Nusantara (Indonésie)
Cary Johnson,
IGLHRC (États-Unis)
Alana Klein, Canadian HIV/AIDS Legal Network (Canada)
Keith Goddard, directeur, GALZ (Zimbabwe)
Présidente
: Kim Vance, codirectrice, ARC International (Canada) |
Salle :
511-B
Langues :
anglais
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2. Engagement efficace à l'ONU; stratégies et portes d'entrée.
Êtes-vous intéressé à faire la différence sur les questions LGBT d’envergure internationale ? Vous voulez connaître les développements concernant vos droits à l’ONU ?
Vous voulez savoir ce que vous pouvez
faire ?
Les Nations Unies connaissent
une période critique car des réformes majeures du système des droits humains aux Nations Unies se préparent. Découvrez les derniers développements, l’avenir pour la protection des droits humains internationaux et ce que cela signifie pour les droits LGBT à travers le monde ! tables-rondes engageant les participants dans un débat stratégique à propos des façons pour travailler efficacement en collaboration afin de projeter notre agenda à l’ONU.
Philipp Braun,
cosecrétaire général,
ILGA-World (Allemagne)
Chris Sidoti, directeur, International Service for Human Rights (Genève,
Suisse)
John Fisher, codirecteur,
ARC International (Genève, Suisse)
Gloria Careaga, El Closet de Sor Juana (Mexique)
Melinda Ching-Simon,
adjointe au représentant spécial pour la défense des droits humains à l’ONU
(Suisse)
Président : Philip
Dayle, International Commission
of Jurists (Jamaïque/Suisse) |
Salle :
516-D
Langues :
français
anglais
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3. Inquiétudes
bien fondées : Le statut
de réfugié et d’asile
pour les personnes LGBT
Les personnes lesbiennes,
gaies, bisexuelles et transgenres de
partout dans le monde recherchent souvent
asile afin d’échapper aux persécutions et à la torture dans leur pays d’origine. Cet atelier explore les champs du droit domestique et international pertinents pour ceux recherchant le statut de réfugié sur la base de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre, incluant les tendances générales dans ce secteur et la législation récente.
Joe Landau,
auxiliaire juridique pour l’Hon. Betty Binns Fletcher, Court d’Appel des États-Unis, « Ninth Circuit »; ex-associé chez Cleary,
Gottlieb, Steen & Hamilton (New
York, États-Unis)
Maria Belen Correa,
fondatrice, ATTTA (Argentine; États-Unis)
Scott Long, directeur,
programme des droits LGBT, Human Rights Watch (États-Unis)
Roberto Jovel, Amnistie
internationale Canada (Montréal,
Canada) |
Salle :
514-C
Langues :
anglais
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4. Visibilité des lesbiennes : nouvelles perspectives pour la construction d'une coalition dans les mouvements LGBTI, des droits humains et des femmes
Cet atelier cherche à partager des stratégies que plusieurs organisations et individus ont utilisé afin de discuter des questions de sexualité et de visibilité des
lesbiennes.
Les participants des diverses parties du
monde débateront de certaines de ces questions :
- Quelles stratégies permettraient de passer outre les hésitations de parler de sexualité au sein d’organisations travaillant sur des questions de droits humains, de développement social et d’égalité des
genres ?
- Quels sont
les principaux secteurs de déconnection
?
- Comment assurer
une visibilité des lesbiennes
de masse dans le mouvement LGBTI, le
mouvement des droits humains et le
mouvement des femmes ?
- Quelles sont
les plus grands défis et opportunités pour la construction d’une coalition au sein du mouvement LGBTI, le mouvement des droits humains et le mouvement des femmes ?
Pramada Menon, CREA (Inde)
Donna Smith, FEW (Afrique du Sud)
Madelene Isaacks, The Rainbow Project (Namibie)
Evelyn Flores, Puntos de Enuentro (Nicaragua)
Radenka Grubacic, Labris (Serbie)
Présidente
: Ireen Dubel,
directrice des programmes Genre, Femme & Développement,
Hivos (Pays-Bas) |
Salle :
511-C
Langues :
anglais
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Vendredi, 28 juillet |
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11:00 - 12:30 |
Séance
d'ateliers 3 |
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1. Développement des efforts LGBTI au sein des organisations « traditionnelles » de droits humains : les progrès jusqu’à maintenant et les défis
qui nous attendent
Cet atelier explorera
les opportunités et les défis impliqués dans le développement du travail LGBTI à travers les organisations dites traditionnelles de droits humains, qui s’intéressent régulièrement à une foule de questions. Les présentations sont destinées à évaluer les avantages relatifs à des approches intersectionnelles du militantisme « queer » qui est à l’intérieur d’un plus large cadre des droits humains, tout en explorant les obstacles et les désavantages
potentiels de produire des efforts de
masse.
Mark Bromley, directeur des politiques et des relations gouvernementales, Droits globaux (Royaume-Uni)
Widney Brown, directeur senior, Droit international, politique et campagnes, Amnistie internationale (Royaume-Uni)
Andrey Kuvshinov, Rights Society (Russie)
Howard Glenn, directeur
générale, Rights Australia (Australie)
Chris Sidoti, directeur, International Service for Human Rights (Genève,
Suisse) |
Salle :
514-C
Langues :
anglais
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11:00 - 12:30 |
2. Violations des droits humains : réponses domestiques et internationales
Dans plusieurs pays
du monde, les membres de nos communautés confrontent la violence, les abus, les restrictions de la liberté d’expression, les sanctions criminelles, le harcèlement policier et la mort, et ce, en raison de leur orientation sexuelle et de leur identité de
genre.
Comment pouvons-nous répondre efficacement à ces abus ? Cet atelier examinera différentes réponses locales et internationales, incluant des exemples documentés de violation de droits, protégeant la sécurité de ceux les plus à risque, rapportant des violations des droits au Rapporteur spécial des Nations Unies pour qu’il puisse mener des enquêtes, déposer une plainte avec un corps international ou exposer les rapports de droits humains de gouvernements face à un comité international.
Découvrez ce que vous pouvez faire pour tenir votre gouvernement responsable des abus des droits humains !
Arvind Narrain, Alternative Law Forum (Inde)
Marcelo Ferreyra, coordonnateur
des programmes, Amérique latine et Caraïbes,
IGLHRC (Argentine)
Scott Long, directeur, programme des droits LGBT, Human Rights Watch (États-Unis)
Ian Swartz, coordonnateur, AARI (Namibie)
Présidents
: Paula Ettelbrick,
directrice générale,
IGLHRC et Roberto Jovel, Amnistie internationale Canada |
Salle :
511-B
Langues :
anglais
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3. Surmonter le défi - Les meilleures pratiques au sein des organisations LGBT du Sud
Cet atelier présentera quatre travaux commandés par ARC International et d’autres partenaires, mettant en lumière les meilleures pratiques et la force organisationnelle d’organisations LGBT oeuvrant dans des environnements difficiles. Les conférenciers présenteront leur histoire et stimuleront la discussion afin de renforcer et de construire les capacités d’autres organisations faisant face aux mêmes défis.
Keith Goddard, GALZ (Zimbabwe)
Carlos Perrera, Equal Ground Pasifik (Fiji)
Violeta Barrientos Silva,
GALF et International Sexuality Forum (Pérou)
Présidents
: Kim Vance (Canada)
et John Fisher (Genève,
Suisse), codirecteurs, ARC International |
Salle :
516-A
Langues :
anglais
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4. Construction des capacités LGBT : Partage des meilleures pratiques de coopération et de jumelage entre des organisations LGBT partout dans le monde
Cet atelier débutera avec une brève présentation vidéo de 12 minutes (Beverly Ditsie) des travaux menés
par Behind the Mask dans le
sud de l’Afrique. BtM est un remarquable exemple de comment les réseaux sont construits, comment ICT peut servir des objectifs progressifs et comment les communautés de militants LGBT et les défenseurs des droits humains peuvent se rapprocher. L’atelier débatera des questions telles que : Comment les mouvements LGBT d’Afrique ou d’Europe de l’Est peuvent-ils sortir gagnants de l’expérience historique des « vieux » mouvements d’Europe de l’Ouest ou des États-Unis ? Comment éviter les tendances paternalistes et mettre l’accent sur les échanges sud-sud ou intrarégionaux et le support mutuel ? Quel type de construction des capacités est-il nécessaire afin de permettre autant aux groupes LGBTI du Nord que du Sud de formuler une réponse unifiée progressive contre la montée du fondamentalisme conservateur qui remet en question la liberté de choix et les droits des femmes, LGBTI et toutes sortes de minorités exclues qui ne correspondent pas aux normes de la majorité morale ? Comment pouvons-nous améliorer l’étalement de bonnes pratiques en éducation LGBT afin de combattre l’homophobie dans la société ?
Thuli Madi, directeur, Behind the Mask (Afrique du Sud)
Bart Luirink, NiZA (Pays-Bas)
Peter Dankmeijer, LES (Pays-Bas)
Ian Swartz, TRP (Namibie)
Kocho Andonovski,
MASSO (Macédoine)
Président
: Mariike Haanraadts, directeur des relations externes, Hivos (Pays-Bas)
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Salle :
516-D
Langues :
français
anglais
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14:00 - 15:30 |
Séance
d'ateliers 4 |
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1. Travailler en coalition
Un nombre croissant
de groupes de droits humains embrassent
actuellement les questions d’orientation sexuelle et d’identité de genre. Le monde est ainsi devenu plus inclusif alors que la lutte était prise en charge par d’importantes ONG internationales. Comment pouvons-nous oeuvrer ensemble ? Comment le rôle d’organisations, telles ILGA, diffère de celles des autres groupes de droits humains ? Comment pouvons-nous travailler en collaboration pour des objectifs et des stratégies communes, tout en se complémentant mutuellement afin d’éviter la duplication ? Cet atelier explorera des stratégies
pour travailler de pair le plus constructivement
et efficacement possible.
Paula Ettelbrick,
directrice, IGLHRC (États-Unis)
Kim Vance, codirectrice, ARC International (Canada)
Chris Sidoti, directeur,
International Service for Human Rights
(Genève, Suisse)
Roberto Jovel, Amnistie
internationale Canada (Québec,
Canada)
Président : Philipp Braun,
cosecrétaire général,
ILGA (Allemagne) |
Salle :
510-A
Langues :
français
anglais
espagnol |
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14:00 - 15:30 |
2. La droite religieuse dans le monde : Comment elle influence les politiques nationales et internationales des droits LGBT
La droite religieuse
se manifeste partout dans le monde de
diverses façons. Nous savons que la droite religieuse américaine – en grande partie chrétienne – a exporté son agenda anti-LGBT par l’entremise de relations avec des politiciens conservateurs d’autres pays. Quelles sont les ressemblances et les différences au sein de la droite religieuse des États-Unis et les religieux conservateurs des autres pays du monde ? Pourquoi y a-t-il autant de pays qui ne possèdent pas de droite religieuse politiquement active ? Quels sont les liens entre l’oppression des droits des femmes, des droits reproductifs et des droits des enfants ? Comment le pouvoir politique de la droite religieuse peut-il être défié le plus efficacement possible partout dans le monde ?
Sean Cahill,
directeur, National Gay and Lesbian Task
Force Policy Institute (New York, États-Unis)
Faisal Alam, Al Fatiha LGBTQ Muslims (Canada)
Robert Biedron, Campaign Against Homophobia (Pologne)
Cary Alan Johnson,
spécialiste de l’Afrique, International Gay and Lesbian Human Rights Commission (États-Unis)
Scott Long, Human Rights Watch (New
York, États-Unis)
Alejandra Sarda, IGLHRC (Buenos Aires, Argentine) |
Salle :
514-C
Langues :
anglais
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3. Stratégies pour le progrès légal : Leçons apprises des luttes pour des changements constitutionnels et légaux
L’Afrique du Sud post-apartheid fut le premier pays à inclure une mention explicite de diversité sexuelle tout en interdisant la discrimination. Cet exemple a inspiré les mouvements de droits humains et LGBT de d’autres parties du monde. Quelles leçons pouvons-nous tirer de ces expériences ? Quelles coalitions ou circonstances socio-politiques ont contribués au mouvement LGBT du Sud dans sa quête pour une constitution plus inclusive ? Quelles sont les différences et ressemblances entre les diverses causes d’Afrique du Sud, de l’Équateur et de l’Inde ? À quel degré la contribution LGBT dans la démocratisation au sein d’une société plus vaste est-elle importante ? À quel degré le rôle de la loi pour la transformation sociale est-il important ? Lorsque nous mettons sur pied une stratégie de campagnes pour la reconnaissance du droit d’être différent, devrions-nous mettre l’accent sur la constitution ou est-ce que des arrangements légaux offriraient une meilleure vision d’un changement efficace ? Est-ce que tous ces changements légaux ont réellement apporté des améliorations fondamentales de la situation de la qualité de vie et de la concrétisation des droits humains pour les personnes LGBT ? Peuvent-ils maintenant vivre libres, ont-ils accès également au travail et aux opportunités salariales ? Et, par exemple, les gais et transgenres évoluant dans des pays reconnaissant légalement les LGBT sont-ils mieux outillés pour faire face au sida ?
Arvind Narrain, ALF (Inde)
Jonathan Berger, ALP (Afrique du Sud)
Keith Goddard, GALZ (Zimbabwe)
Orlando Montoya, EQUIDAD
(Équateur)
Neptali Arias, FAMIVIDA
(Équateur)
Président
: Teyo Van der Schoot, directeur du programme des droits humains, Hivos (Pays-Bas) |
Salle :
511-C
Langues :
anglais
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4. Le rôle de l'Union européenne en relation avec les réfugiés LGBT et le traitement des personnes LGBT du Tiers-monde
Cet atelier présentera le rôle que l’Union européenne peut jouer en relation avec les réfugiés et le traitement des LGBT dans les pays du tiers-monde, et comment ce rôle peut avoir des répercussions positives sur les expériences vécues des LGBT. Cet atelier explorera aussi les mécanismes dont dispose l’Union européenne et comment ceux-ci peuvent être utilisés de façon positive dans les pays voulant mettre de l’avant leur candidature à l’Union européenne. Les expériences d’ILGA-Europe dans ces deux secteurs seront ainsi discutées.
Philipp Braun,
cosecrétaire général,
ILGA- World (Allemagne)
Patricia Prendiville,
directrice générale, ILGA-Europe
(Irlande)
Président
: Miha Lobnik,
membre du Conseil, ILGA-Europe (Slovénie) |
Salle :
511-B
Langues :
anglais
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Samedi, 29 juillet |
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11:00 - 12:30 |
Séance
d'ateliers 5 |
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1.
Renforcement institutionnel : collectes
de fonds
Combien
des extraordinaires intiatives identifiées au cours de la présente Conférence ne seront jamais réalisées faute de ressources ? Personne n’aime les collectes de fonds, mais tous en ont besoin. Cet atelier présentera des représentants d’agences d’investissements clés et d’organisations communautaires qui vous fourniront des informations pratiques, des habiletés et des façons de faire pour accéder au soutien financier nécessaire à l’avancement
des questions LGBT, localement et internationalement.
Andrew Park, International LGBT Funders Group (États-Unis)
Joo-Hyun Kang, Astraea Foundation (États-Unis)
HIVOS (Pays-Bas)
OSI (États-Unis)
Présidents
: Kim Vance (Canada) et John Fisher (Genève,
Suisse), codirecteurs, ARC International
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Salle :
515-A
Langues :
anglais
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2. Parler en notre
nom aux Nations Unies : ONG LGBT et statut
consultatif d'ONG de l'ONU (ECOSOC)
En 2005 et en 2006,
ensembles, onze ONG LGBT ont posé leur candidature pour le statut consultatif d’ONG de l’ONU (ECOSOC), dont ILGA et des membres d’Afrique, d’Europe, d’Amérique latine et d’Amérique du Nord. Au Comité des ONG en 2006, une controverse a eu lien en lien au traitement de ces ONG – un sujet qui sera aussi d’intérêt à l’ECOSOC complet. Cet atelier s’intéressera à la question d’ONG LGBT qui sont reconnues par l’ONU et donnera de l’information à savoir comment fonctionne le processus de sélection.
Keith Goddard, directeur, GALZ (Zimbabwe)
Toni Reis, secrétaire général, ABGLT (Brésil)
Yvan Lapointe, directeur, CGLQ (Canada)
Président
: Philipp Braun,
cosecrétaire général,
ILGA (Allemagne)
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Salle :
516-D
Langues :
français
anglais
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3. Los crimenes del silencio: Homo/transphobie, violence et impunité en Amérique latine
De récentes enquêtes concernant les communautés LGBT révèlent l’Amérique latine en tant que l’une des régions avec un haut taux de crimes haineux fondés sur l’orientation sexuelle ou l’identité sexuelle des victimes. La plupart de ces causes demeurent impunies et sont souvent passées sous silence, à la fois en raison de l’indifférence des autorités et de la douleur ou la peur de représailles du côté des
victimes et de leurs familles.
En raison du manque de
typologie juridique, les causes sont traitées comme des crimes passionnels et ne tiennent pas compte de leur aspect disminatoire sociétal. En présentant trois causes étudiées au Mexique, en Colombie et au Pérou, cet atelier analysera les difficultées de mettre ces crimes haineux de l’avant, de trouver les implications politiques du manque de protection institutionnelle et de trouver des façons de briser le silence et l’impunité afin d’amener justice et réparation aux victimes d’homophopbie. Les trois présentations seront soutenues par une courte vidéo, après quoi l’atelier deviendra un lieu de débat.
Alejandro Brito, directeur de Letra S (Mexique)
Marcela Sánchez Buitrago, directeur de Colombia Diversa (Colombie)
Jorge Bracamonte, président fondateur de MHOL (Movimiento Homosexual de Lima) (Pérou)
Président
: Frans Mom, consultant pour LGBT and Aids, Hivos |
Salle :
510-D
Langues :
français
anglais
espagnol |
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4. Une journée nationale et internationale de lutte contre l'homophobie
La Journée nationale de lutte contre l’homophobie a été initiée en 2003 par la Fondation Émergence afin de contrer les effets de l’homophobie. Depuis ce temps, la Journée nationale de lutte contre l’homophobie s’est étendue à l’échelle canadienneet a généré plusieurs actions concrètes de lutte. Plus de 350 groupes, d’un océan à l’autre, ont participé en organisant différentes activités comme de l’affichage,
des marches ou des colloques.
Pierre Blain, chargé de projet, Fondation Émergence (Québec,
Canada)
La première journée internationale de lutte contre l’homohobie (IDAHO) fut célébrée dans 40 pays en 2005. Dans cet atelier, l’histoire de cette excitante aventure politique sera racontée, avec des témoignages et des photos de l’action à travers
le monde, et exposera et discutera de
projets futurs.
Louis-Georges Tin, fondateur et dirigeant de IDAHO (France)
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Salle :
514-C
Langues :
français
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